Cheap Il était une fois en Amérique - Édition Collector 2 DVD Discount Review Shop
QUAND ON VOUS DIT QUE DE NIRO EST UN MONSTRE... D'abord les acteurs: ils sont géants, mais géants... Leone; habitué aux Western signe ici une fable New yorkaise sublime, à croire que les Etats Unis ne sont que New York... La musique, ma grand-mère la connaissait, Amapola a été 'reprise' par Tino le grand Rossi en 1935, cette musique est magique. Et l'histoire, ah l'histoire, les souvenirs de jeunesse de Noodles, ses amis, son amour, sa 'carrière' et sa trahison... Un film qui commence par la fin mais quelle fantastique idée, quel film sensationnel, voilà toute la splendeur du cinéma américan. Absolument à voir (et cette fois ce n'est pas pour rire)...Once Upon a Time in America a été aimé et détesté à plusieurs périodes. Le film a été tronqué de ses 229 minutes originale à 139 pour sa sortie au cinéma. L'édition longue présente ici les bénéfices d'avoir les deux versions (la longue, la courte du cinéma , qui a de nombreux passages à vide) c'est l'histoire de fin de siècle des immigrés juifs en Amérique trouvant leur voix dans le crime en flashback racontée par le gangster juif Noodles (Robert De Niro). d'un autre côté c'est presque 4 heures et Sergio Leone n'a pas fait Le Parrain. Mais le film est carrément un classique à voir pour le contraste pour la façon de voir de Leone sur les gangsters et son action parfois explosive comme pour le stoïque et impressionant monstrueux) De Niro et l'hyperactif James Woods en tant qu'ami et rival éternel
Special Features
229-minute version
commentaire sur la version longuie de Richard Schickel
Revealing Once Upon a Time: le documentaire de Sergio Leone
Filmographies
Photo gallery
Theatrical Trailer
1.85:1 Anamorphic Widescreen
Dolby Digital 5.1 English, French
Subtitles: English, French, Spanish
Une chose tout de même aberrante: le film est sur 2 DVD
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"Il était une fois en Amérique - Édition Collector 2 DVD" Overview
Il aura fallu plus de treize ans à Sergio Leone pour monter, réaliser et enfin léguer à l’histoire du septième art son œuvre testamentaire. Fresque monumentale s’étalant des années vingt à la fin des années soixante, Il était une fois en Amérique clos la trilogie légendaire du cinéaste italien de la manière la plus sombre et la plus amère qui soit. L’histoire de Noodles, petit voyou du Bronx propulsé caïd de la pègre, ressemble à une peinture nostalgique et désenchantée du rêve américain de puissance et de pouvoir en rupture avec les passions individuelles et les sentiments, un mythe à échelle humaine où se côtoient la poésie de l’enfance et la brutalité absurde du monde. Œuvre magistrale et crépusculaire magnifiée par la langueur mélancolique de la musique d’Ennio Morricone, ce film reste une incroyable réflexion sur le temps, sur les désillusions et les regrets d’une vie. Ce temps, justement, figure à part entière du récit savamment charpenté en flash-back, Sergio Leone se l’approprie avec une maîtrise inégalée pour en tirer toute sa substantifique moelle dramatique, apportant la profondeur à ses personnages magistralement interprétés par Robert De Niro, James Woods et Elizabeth Mc Govern. On ressort de Il était une fois en Amérique avec le sentiment d’avoir visité un temple ou parcouru les fines ciselures d’une sculpture massive et intemporelle, à l’image du pont de Brooklyn omniprésent ou du mausolée dans lequel Noodles/De Niro vient se recueillir. --Arnaud Caire
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